top of page
00:00 / 00:50

l'horloge

Création 1998

L'Histoire

La grande horloge sombre de nos grands-mères, sonnant gravement les heures, dont le balancier imperturbable ne s'arrête jamais, n'est-elle pas un peu vivante ? En tous cas, elle est pleine de mystère. Le mouvement perpétuel, le temps qui passe, qui n'a pas rêvé un jour de l'arrêter; ne serait-ce qu'un instant ? Qui est donc celle qui la symbolise ? Après 3 histoires d'animaux, le Théâtre du Corbeau choisit en réalisant "L'horloge", un genre nouveau, un conte fantastique dans un univers bien réel situé au milieu du siècle dernier.

 

Tintina, notre horloge, Si elle est grande par la taille, est petite en fait et proche des enfants. Ne vient-elle pas d'être créée ? Ses connaissances sont très limitées, son désir d'exister est lui, très fort. Avec ce don de la parole qui lui a été donné, elle ne peut se résoudre à être une horloge comme les autres, elle va donc chercher à se libérer de son carcan pour partir à l'aventure. La rencontre avec Cléante, le comédien, lui fait miroiter une vie pleine d'imprévus et de plaisirs. Elle est persuadée qu'est là sa destinée. Le voleur; placé en travers de sa route va briser son rêve et lui enlever son pouvoir. Elle redevient alors, un objet comme tous les autres. Heureusement, l'enfance est la période de la vie où tout est possible. Les objets bien sûr vivent la nuit. Mais pour Tintina ce n'est pas suffisant. Son désir est plus fort que les lois de l'univers. Elle partira avec le réverbère, l'entraînant dans sa quête d'aventure. Défi ou détermination, il était important pour nous de montrer aux enfants que, malgré les difficultés rencontrées au cours d'une vie, l'espoir de concrétiser ses rêves est bien réel.

distribution

texte et mise en scène Muriel JARRY

décors Philip CAULIER

musique Jean-Marc DUFOUR

costumes Chantal LALLEMENT

chorégraphies Sandrine FERRER

affiche Marie GARD et Franck BOYER

régie Maxime SIMONE

avec Muriel JARRY, Denis ROLLAND, Dan VAN EENOO et Alain MARESCHI

presse

"L'horloge Tintina tient de la poupée des Contes d'Hoffmann et de Pinocchio Elle aussi, elle quitte le magasin du vieil artisan qui lui a donné la vie pour vivre en liberté puisqu'elle parle et qu'elle a des jambes. Mais le monde extérieur est cruel, et l'horloge va s'embourber entre deux chansons et trois galipettes. Les dialogues désuets, les décors surprenants, les chansons mignonnettes font penser à un spectacle du siècle dernier. Très agréable." 

Henriette Bichonnier - Télérama

"De riches costumes, de très beaux décors, des ritournelles faciles à retenir... Les enfants sont à la fête avec cette histoire d'horloge parlante qui rêve de partir à la découverte du monde. Ils prennent parti pour les bons, huent les méchants et gigotent sur leur siège à la première note de musique. Un spectacle entraînant." 

B.A. - Le Parisien

bottom of page